25 déc. 2012

Statut de la lecture du Coran sur les tombes. - Islamiates

Statut de la lecture du Coran sur les tombes. - Islamiates

La lecture du Coran sur les tombes est une innovation. Ce n’est pas un acte qui a été rapporté du prophète, sala Allah ’alayhi wa salam, ni de ses compagnons. Et si ceci n’a pas été rapporté du prophète, sala Allah ’alayhi wa salam, ni de ses compagnons, alors il nous est interdit d’innover de notre propre chef car il a été rapporté de façon authentique que le messager, sala Allah ’alayhi wa salam, a dit : "Toute nouvelle chose inventée dans la religion est une innovation, toute innovation est un égarement et tout égarement est dans le feu". Et il est obligatoire pour toutes les personnes soumises à Allah de prendre exemple sur ceux qui nous ont précédés, parmi les compagnons et ceux qui les suivent à la perfection de sorte qu’elles soient sur le bien et la guidée car le prophète, sala Allah ’alayhi wa salam, a dit, et ceci est authentique : "la meilleure des paroles et la parole d’Allah et la meilleure des guidées et la guidée de Mohamad, sala Allah ’alayhi wa salam.

Participer à l’enterrement d’un non musulman ? » Musulman et fier de l'être

Participer à l’enterrement d’un non musulman ? » Musulman et fier de l'être

Il a précisément été demandé à SHeikh Muhammad Ibn ‘Uthaymîn (rahimahullâh) ce qu’il en est du fait de participer ou pas au convoi funèbre (ou funérailles) du non musulman et vice-versa ?
SHeikh a répondu qu’il n’est pas permis à un musulman d’assister au convoi funèbre d’un non musulman, car le suivi du convoi mortuaire est un droit exclusif réservé au musulman pour le musulman, et non pas du non musulman pour le musulman, et cela comme pour le fait que l’on ne commence pas le « Salam » (Salut) sur le non musulman. Tout comme le Prophète (sallallahu ‘alayhi wa salam) n’a pas permis de commencer le « Salam » sur le Juif et le Chrétien, ainsi, il n’est pas permis de suivre son convoi funèbre, même si cette personne est proche de toi. Et pour ce qui est des funérailles d’un non musulman à l’égard d’un musulman, c’est une chose qui nécessite une analyse précise qui fait que je ne puis répondre dessus maintenant. [1] Ibn ‘Uthaymîn (rahimahullâh) ajoute dans son commentaire de « al-Moumti’ » qu’il « n’est pas permis au musulman de suivre le convoi funèbre du mécréant, car le convoi funèbre est une façon d’honorer le mort. Et certes, le mécréant ne fait pas partie des gens à honorer. Au contraire, il est offensé. » Le fait d’assister aux funérailles du mécréant, c’est l’honorer, et c’est pourquoi il n’est pas permis de le suivre. Aussi, il est interdit de l’enterrer, c’est-à-dire, de l’enterrer comme les musulmans, ceci est le sens de la parole du Prophète (sallallahu ‘alayhi wa salam) lorsqu’il a dit à Alî pour Abû Tâlib : « Va l’ensevelir.. ». Et le sens d’ensevelir, c’est le fait de le recouvrir de sable (ou de terre). Car il est tout de même obligatoire d’ensevelir un mécréant (quand personne d’autre ne peut le faire). [2]

24 déc. 2012

Salaatou Tasbih (Prière de la glorification) - Islamiates

Salaatou Tasbih (Prière de la glorification) - Islamiates

- 1 fois / jour
- ou alors 1 fois / semaine
- ou alors 1 fois / mois
- ou alors 1 fois / an
- ou alors 1 fois dans sa vie avant que la mort n'intervienne.
Celui qui l'effectue verra pardonnés ses péchés
* petits ou grands
* conscients ou inconscients
* commis de jour ou de nuit
* faits exprès ou pas

Comment la faire ?

On peut la faire de jour, comme de nuit. Elle consiste à faire 4 raakas.
Si c'est de jour —> faire les 4 raakas d'un trait,
Si c'est de nuit —> faire 2 raakas, salut final,
puis 2 autres raakas.

Le principe est de dire 300 fois au cours de cette prière la formule (F) suivante :
SOUBEHAANA - LAAHI

WAL HAMEDOULI - LAAHI
WA LAA ILAAHA ILLAL LAAHOU
WALAAHOU AKBAR

On peut ajouter à cette formule (mais c'est facultatif) : wa laa hawla wa laa qhouwwata illa bil Laahi Aliyyil Aziim.

Pourquoi le temps semble parfois passer plus rapidement? » Musulman et fier de l'être

Pourquoi le temps semble parfois passer plus rapidement? » Musulman et fier de l'être

Selon une nouvelle étude menée par des scientifiques du Minnesota, la perception du temps par notre cerveau n’est pas lié à une "horloge interne", mais à une multitude de mécanismes indépendants les uns des autres, synchronisés différemment pour chaque activité spécifique.
Par sa complexité, la notion de perception du temps dépasse parfois notre entendement. Pour compliquer encore la chose, une équipe de chercheurs du Minnesota a récemment publié une étude réfutant le concept pourtant bien intuitif de "l’horloge interne". Cette croyance, consiste à imaginer notre cerveau comme une véritable pendule, capable de pressentir l’heure qu’il est avec une fiabilité plus ou moins grande, sans avoir à regarder sa montre ou la position du soleil dans le ciel. Mais en réalité, selon la nouvelle étude, la manière dont nous percevons le temps dérive d’un mécanisme complètement différent.

23 déc. 2012

Filles / Garçons : quels choix d’orientation ? - Lycée Moulay Idriss 1er Casa

Filles / Garçons : quels choix d’orientation ? - Lycée Moulay Idriss 1er Casa

Le fait que les femmes et les hommes choisissent des domaines d’études différents peut s’expliquer par les perceptions traditionnelles des identités des deux sexes et des rôles qui leur sont dévolus, ainsi que par la valeur culturelle parfois associée à des domaines d’études particuliers. Certains domaines, comme ceux en rapport avec la science, l’ingénierie, la production et la construction, sont considérés comme plus « masculins » et sont privilégiés par les hommes, alors que d’autres, comme la santé et l’éducation, sont plus « féminins » et sont plus prisés par les femmes.
Parmi les diplômés du deuxième cycle de l’enseignement secondaire en filière professionnelle, plus d’un homme sur deux a suivi une formation en rapport avec l’ingénierie, la production ou la construction.

Dans la quasi-totalité des pays dont les données sont disponibles, les hommes sont plus nombreux que les femmes à avoir opté pour ces domaines d’études ; en Estonie et en Norvège, les hommes constituent trois quarts de l’effectif diplômé à l’issue d’une formation dans l’un de ces domaines.

Le Pèlerinage à la Mecque : Qu'est ce que l'Ihrâm ou la sacralisation ? - Islamiates

Le Pèlerinage à la Mecque : Qu'est ce que l'Ihrâm ou la sacralisation ? - Islamiates
L'ihram est un terme arabe lié au hajj : tout au long du pèlerinage, le pèlerin doit être en état d'ihram (arabe : إحرام [iḥrām], état de consécration rituelle; sacralisation; vêtement de pèlerinage). L'ihrâm symbolise l'entrée dans l'univers sacré.

Le pèlerin doit se soumettre à une purification physique complète, grandes ablutions et à une certaine hygiène de vie.

En premier lieu, il faut devenir pur. Pour cela, il faut accomplir les étapes suivantes:
Entrer dans le territoire du pèlerinage faire le lavage rituel sous la douche ou le lavage de tout le corps (ghusl).

Pendant la période de sacralisation sont interdits :
Mariage, proposition de mariage.
Courir ou participer à des concours de course.
Couvrir la tête pour les hommes.
Couper les cheveux et les ongles.
Se parfumer.
Chasser le gibier. 1


A la fin du pèlerinage et pour sortir de cet état de sacralisation, le pèlerin (homme) devra se couper les cheveux ou mieux se raser le crâne, la femme devra se faire raccourcir les cheveux. Le pèlerin devra en outre quitter son costume de pèlerinage.

Les différences de comportement entre l’homme et la femme:les 10 cas

Le génie militaire de Khalid Ibnou Alwalid "L'épée d'Allah' » Musulman et fier de l'être

Le génie militaire de Khalid Ibnou Alwalid "L'épée d'Allah' » Musulman et fier de l'être

Khâlid Ibn AI-Walîd Ibn AI-Mughira AI-Makhzûmi, surnommé Abû Sulayman, est né à la Mecque vingt cinq ans avant l'Hégire. Il était issu du clan des Banû Makhzûm, un des clans les plus influents de la Mecque avant les Banû Hâshim et les Banû Umayya. Comme la plupart de ses concitoyens, Khâlid avait commencé par combattre l'islam avant de se convertir. C'était lui d'ailleurs qui fut à l'origine de la défaite des musulmans à Uhud. Cavalier émérite, stratège hors pair, il pouvait, à lui seul, faire la différence au cours d'une bataille.

En plus de cela, Khâlid (RA) était d'une intelligence extraordinaire. Certes, il avait combattu les musulmans à Uhud et à la bataille d'Al¬Khandaq, mais il semble que ce soit plus par devoir et solidarité envers ses concitoyens que par haine et opposition doctrinale vis-à-vis de l'islam.

On ne lui connaissait pas d'opposition systématique à l'islam de même qu'un fanatisme virulent pour le paganisme de Quraysh.

C'est pourquoi, lorsque la lumière de l'islam visita son coeur, elle y trouva des prédispositions favorables et s'y établit facilement.

Khâlid (RA) venait de rejeter définitivement les croyances païennes de ses ancêtres et d'opter pour l'islam, cette religion grandiose qui ne cessait de subjuguer les cœurs et les âmes malgré l'hostilité et les oppositions dont elle a fait l'objet de la part de ses détracteurs.

21 déc. 2012

Tout sur le Père Noël - Islamiates

Tout sur le Père Noël - Islamiates

Le Père Noël aurait pour origine Saint Nicolas. On retrouve dans sa représentation tout la symbolique de Saint Nicolas (barbe blanche, manteau rouge...). Le père Noël voyage dans un traîneau tiré par des rennes, Saint Nicolas voyageait sur le dos d'un âne.
Malgré la réforme protestante du XVIe siècle qui supprima la fête de St Nicolas dans des pays d'Europe, les Hollandais gardèrent leur Sinter Klaas (nom hollandais pour Saint Nicolas) et sa distribution de jouets.
Lorsqu'ils s'installèrent aux États-Unis, Sinter Klass devint Santa Claus. Santa Claus subit des transformations vestimentaires et culturelles pour se transformer en un Père Noël plus convivial.

La consommation du vinaigre est-elle licite ? » Musulman et fier de l'être

La consommation du vinaigre est-elle licite ? » Musulman et fier de l'être
L’imâm Muslim rapporte dans son Sahîh que le Prophète (sallallahu ‘alayhi wa salam) a dit : « Quel bon aliment que le vinaigre ». L’imâm an-Nawawî (rahimahullâh) dit dans son commentaire - que ce hadîth indique le bienfait du vinaigre, et que l’appellation « al-Oudoum » dans le hadîth, indique l’importance de ce grand bienfait [1].
Il y a unanimité des jurisconsultes sur le fait que le vinaigre qui s’est modifié naturellement, c’est-à-dire sans intervention humaine, est licite. Qu’il ait été exposé au soleil directement ou sous son ombre, sans l’intention de le transformer pour le consommer - ceci est licite chez les Hanafites, les Chafiites et les Dhâhirites et toléré chez les Hanbalites. Selon les Malékites, l’avis est basé sur trois positions : la première qui le prohibe et l’interdit sur la base d’un hadîth rapporté par Mâlik, Ahmad, Muslim et an-Nassâ-î, la seconde le permet mais avec blâme, et la troisième mentionne la permission du vinaigre fait par autrui, mais sans intention de consommation du vin, car il n’est pas permis de transformer du vin au profit du vin. Les Chafiites et les Hanbalites ne permettent pas la transformation du vin afin d’en faire un remède [2]. Abû Hanîfa ainsi que ses compagnons disent qu’il n’y a pas de mal à transformer le vin. Al-Thawrî sur la question du vin, ne permet pas sa transformation pour la consommation. [3]

LES FIGURES DE STYLE - Lycée Moulay Idriss 1er Casa

LES FIGURES DE STYLE - Lycée Moulay Idriss 1er Casa

La comparaison : elle consiste à rapprocher deux éléments, un comparé et un comparant, pour en souligner les ressemblances ou les différences. Le rapprochement des deux termes se fait au moyen d’un outil de comparaison.
Ex : Les dauphins (terme comparé) alentour sautent comme (outil de comparaison) des carpes (terme comparé).

La métaphore : comme la comparaison, elle rapproche deux éléments, mais sans les relier par un outil de comparaison.
Ex : L’aurore est un cheval
Qui s’ébrouant chasse au loin les corneilles.
Les figures de remplacement

La métonymie : cette figure consiste à désigner un être ou un objet par un autre être ou objet qui a un rapport avec lui.
Ex : boire un verre (le contenant désigne le contenu). Tout Brest accourut. Chateaubriand (le nom de la ville désigne l’ensemble des habitants).