Le musulman a pour devoir de
questionner une personne savante ou à un groupe de oulémas lorsqu'il
est confronté à une question à laquelle il n'est pas capable de répondre
lui-même.
Dans le cas où il constate une divergence d'opinion entre les savants sur une question:questionner une personne savante ou à un groupe de oulémas lorsqu'il
est confronté à une question à laquelle il n'est pas capable de répondre
lui-même.
s'il a les compétences de comprendre et de mesurer la validité de
l'argumentaire des uns et des autres, il se doit de choisir l'avis qui
lui semble le plus juste et le plus proche de la vérité. (C'est cette
considération qui pousse souvent des musulmans à opter pour l'avis
majoritaire entre les oulémas.)
s'il n'a pas les compétences nécessaires pour trouver de lui-même
l'avis qui lui semble le plus juste, il se doit de suivre l'avis du (ou
des) savant(s) qui est (sont) le(s) plus compétent(s) à ses yeux. (C'est
cette attitude qu'adopte les "mouqallidoûn", ceux qui s'attachent dans
toutes les questions juridiques à l'approche d'une école particulière
(hanafite, châféïte, mâlékite ou hambalite).)
سبحانك اللهم و بحمدك أشهد أن لا إله إلا أنت أستغفرك و أتوب إليك
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire