"Droits de Dieu" et "droits de la personne" » Musulman et fier de l'être
Il existe 2 sens à la formule "droit de Dieu" :
– un sens général, en vertu duquel tout ce que Dieu a demandé d'adopter, tout ce qu'Il a demandé de faire et tout ce dont Il a demandé de se préserver, tout cela relève des "droits de Dieu", même s'il s'agit de subvenir aux besoins de créatures et de se préserver de faire du tort à autrui ;
– et un sens plus restreint.
Dans un célèbre hadîth, le Prophète (sur lui soit la paix) a dit à Mu'âdh que le droit de Dieu sur les hommes est que ceux-ci fassent Sa 'ibâda et ne Lui associent rien (rapporté par al-Bukhârî et Muslim). Or la 'ibâda complète de Dieu se fait primo par le fait de Le diviniser et de ne rien diviniser d'autre que Lui, et secundo par le fait de pratiquer – avec sincérité pour Dieu – toute action intérieure et extérieure qu'Il agrée chez l'homme, que cette action relève du domaine spirituel, du domaine cultuel, physique ou familial, ou encore du domaine des relations de l'homme avec ses semblables ou les autres créatures (lire Al-'Ubûdiyya, Ibn Taymiyya, p. 23). Dès lors, le fait pour l'homme d'agir en bien avec les autres hommes, de même qu'avec les animaux, relève également de la 'ibâda, donc également du droit que Dieu a sur lui.
سبحانك اللهم و بحمدك أشهد أن لا إله إلا أنت أستغفرك و أتوب إليك
Il existe 2 sens à la formule "droit de Dieu" :
– un sens général, en vertu duquel tout ce que Dieu a demandé d'adopter, tout ce qu'Il a demandé de faire et tout ce dont Il a demandé de se préserver, tout cela relève des "droits de Dieu", même s'il s'agit de subvenir aux besoins de créatures et de se préserver de faire du tort à autrui ;
– et un sens plus restreint.
Dans un célèbre hadîth, le Prophète (sur lui soit la paix) a dit à Mu'âdh que le droit de Dieu sur les hommes est que ceux-ci fassent Sa 'ibâda et ne Lui associent rien (rapporté par al-Bukhârî et Muslim). Or la 'ibâda complète de Dieu se fait primo par le fait de Le diviniser et de ne rien diviniser d'autre que Lui, et secundo par le fait de pratiquer – avec sincérité pour Dieu – toute action intérieure et extérieure qu'Il agrée chez l'homme, que cette action relève du domaine spirituel, du domaine cultuel, physique ou familial, ou encore du domaine des relations de l'homme avec ses semblables ou les autres créatures (lire Al-'Ubûdiyya, Ibn Taymiyya, p. 23). Dès lors, le fait pour l'homme d'agir en bien avec les autres hommes, de même qu'avec les animaux, relève également de la 'ibâda, donc également du droit que Dieu a sur lui.
سبحانك اللهم و بحمدك أشهد أن لا إله إلا أنت أستغفرك و أتوب إليك
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