Depuis des siècles, le cœur est devenu le symbole de l’amour. Durant l’Antiquité, on pensait même qu’il était le siège des émotions, sûrement parce qu’il se mettait à s’emballer face à l’être aimé. Mais si longtemps l’amour a été résumé aux sentiments, des recherches plus récentes ont révélé quelques-uns des soubassements physiologiques.
Hormones, phéromones, activités neurologiques et cardiaques (entre autres) traduisent et trahissent le sentiment amoureux. Cependant, on est encore loin de tout connaître sur la question. Or, deux nouvelles études, parues dans les revues Emotion et l’International Journal of Psychophysiology viennent d’apporter des éléments inédits sur le sujet.
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