Voilà un sujet qui
fâche. Pour de nombreux intervenants sur ce créneau, il doit rester
tabou, comme il l'a toujours été. Et pourtant, le business généré par
les visas de complaisance «visas de moujamala»se chiffre en centaines de
millions de DH.
fâche. Pour de nombreux intervenants sur ce créneau, il doit rester
tabou, comme il l'a toujours été. Et pourtant, le business généré par
les visas de complaisance «visas de moujamala»se chiffre en centaines de
millions de DH.
Les «harrrgas» de «complaisance»
Chaque année, ce sont
plus de 200MDH qui sont traités au noir et qui échappent à l'œil, qui se
veut très vigilant, de l'administration du fisc. «Tout est payé en
espèces pour qu'il n'y ait pas de traces, témoigne un pèlerin « Harrag
». Et d'ajouter, «nous sommes comme punis d'avoir accepter le visa
accordé par l'ambassade d'Arabie saoudite. Des pèlerins pestiférés par
le ministère des Habous qui n'a pas de contrôle à exercer sur eux en
dépit de son rôle de fixateur des quotas». En effet, ce sont quelque
3000 visas qui sont accordés sous l'étiquette «moujamala» (littéralement
complaisance). Aspirant à en tirer quelques privilèges, leurs
titulaires se heurtent à une réalité toute autre.
plus de 200MDH qui sont traités au noir et qui échappent à l'œil, qui se
veut très vigilant, de l'administration du fisc. «Tout est payé en
espèces pour qu'il n'y ait pas de traces, témoigne un pèlerin « Harrag
». Et d'ajouter, «nous sommes comme punis d'avoir accepter le visa
accordé par l'ambassade d'Arabie saoudite. Des pèlerins pestiférés par
le ministère des Habous qui n'a pas de contrôle à exercer sur eux en
dépit de son rôle de fixateur des quotas». En effet, ce sont quelque
3000 visas qui sont accordés sous l'étiquette «moujamala» (littéralement
complaisance). Aspirant à en tirer quelques privilèges, leurs
titulaires se heurtent à une réalité toute autre.
سبحانك اللهم و بحمدك أشهد أن لا إله إلا أنت أستغفرك و أتوب إليك