Le statut des prisonniers de guerre en Islam » Musulman et fier de l'être
Quelle est la position de l’Islam en ce qui concerne les prisonniers de guerre ? Est-il vrai que les gouverneurs musulmans, à l’époque de l’Etat islamique, prenaient les femmes-esclaves des palais qu’ils conquéraient, les considéraient comme esclaves et avaient avec elles des rapports sexuels ? Comment cela concorde-t-il avec notre Pure Législation (Shar`) ?
Concernant les prisonniers de guerre, le Dirigeant de la Communauté (Imâm) a le choix entre quatre solutions. Deux de ces solutions ont été mentionnées dans le Noble Coran : il s’agit de la libération gratuite et de la libération moyennant une rançon.
Les juristes ont ajouté à ces deux solutions, mentionnées dans le Noble Coran, deux autres solutions, et ce, conformément à ce que fit le Messager de Dieu, paix et bénédiction sur lui : il s’agit dans ce cas de l’exécution et de l’asservissement. Ces deux solutions sont considérées comme faisant partie de la politique légale et le Dirigeant de la Communauté peut y recourir s’il existe des motifs qui le justifient.
Quelle est la position de l’Islam en ce qui concerne les prisonniers de guerre ? Est-il vrai que les gouverneurs musulmans, à l’époque de l’Etat islamique, prenaient les femmes-esclaves des palais qu’ils conquéraient, les considéraient comme esclaves et avaient avec elles des rapports sexuels ? Comment cela concorde-t-il avec notre Pure Législation (Shar`) ?
Concernant les prisonniers de guerre, le Dirigeant de la Communauté (Imâm) a le choix entre quatre solutions. Deux de ces solutions ont été mentionnées dans le Noble Coran : il s’agit de la libération gratuite et de la libération moyennant une rançon.
Les juristes ont ajouté à ces deux solutions, mentionnées dans le Noble Coran, deux autres solutions, et ce, conformément à ce que fit le Messager de Dieu, paix et bénédiction sur lui : il s’agit dans ce cas de l’exécution et de l’asservissement. Ces deux solutions sont considérées comme faisant partie de la politique légale et le Dirigeant de la Communauté peut y recourir s’il existe des motifs qui le justifient.